« La musique classique est un personnage en soi qui nous transporte et nous fait entrer dans la tête de la protagoniste (Sophie Desmarais) des Jours heureux. » Chloé Robichaud, réalisatrice (Luc Boulanger, La Presse)
« Le but que je m’étais fixé en acceptant de participer au projet, à savoir que la musique soit montrée comme une chose qui peut aider les êtres à se libérer, voire à trouver un sens à leur vie, c’était là, c’était dans le film. » YNS (François Lévesque, Le Devoir)
« Je suis très fier d’avoir contribué à une œuvre qui est aussi émouvante, qui est aussi vraie » YNS (François Lévesque, Le Devoir)
« Moi, je trouve que l’art total, c’est le cinéma. » YNS (Luc Boulanger, La Presse)
« L’Orchestre Métropolitain (qui apparaît dans le film) et moi, notre mission, c’est d’amener la musique au plus grand nombre de gens possible, et le cinéma peut assurément contribuer à ça. » YNS (François Lévesque, Le Devoir)
« J’aime que le film montre une jeune cheffe, une femme, sur le podium. » YNS (François Lévesque, Le Devoir)
« Le milieu a changé et Les jours heureux témoigne de cette nouvelle réalité. (…) L’image du chef autoritaire, hyper-rigide, qui terrorise son orchestre, ça ne passe plus. » YNS (Luc Boulanger, La Presse)
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